Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Hot' Actu

Archives
15 janvier 2007

SALUT!!!

JOHANNA

Bienvenue sur mon blog!

Je m'appelle Johanna, j'ai vingt ans et j'habite à Marseille.

Je suis étudiante en journalisme. Mon souhait le plus cher serait de travailler dans la presse écrite plus tard, c'est pourquoi je consacre mon blog à l'actualité. Vous pourrez y retrouver mes articles et mon avis sur certains sujets fards de cette année.

N'hésitez pas à me laisser des commentaires!!! A bientôt.

Publicité
10 janvier 2007

Taoufic Amri : bavure policière ou simple accident ?

arton10883_1_Le corps de Taoufic Amri a été retrouvé  mercredi dans une rivière, non loin du lieu où il a été arrêté par la police en état d’ébriété. Les questions concernant cette affaire se multiplient suite aux témoignages contradictoires des policiers qui ont interpellés le tunisien de 32 ans le soir de sa disparition.

Certains pensent à la bavure policière. Il est vrai que les raisons de sa disparition restent mystérieuses. Surtout que les policiers auraient du le garder au commissariat toute la nuit, étant donné son taux d’alcoolémie. Une chose est certaine dans toute cette affaire, c’est que la police n’a pas bien fait son boulot. Mais de là a accuser les policers de meurtre, je pense que c’est en tirer des conclusions trop hâtives.

Selon la police, Taoufic serait mort par hydrocution. Les premiers éléments de l’enquête ne permettent pas de déterminer s’il est tombé ou si on l’a poussé, mais aucunes traces de lutte à été identifié. Il est vrai que vu son état, il aurait été facile de le faire trébuché.

Un hic cependant vient faire pencher la balance dans toute cette histoire. Les policiers ont mis deux semaines à avouer qu’ils avaient effectivement interpellé Taoufic le fameux soir de sa disparition. Les policiers auraient-ils quelque chose à cacher  pour ne pas avoir révélé une information aussi primordiale pour le déroulement de l’enquête ?  N’y aurait-il pas la dessous un acte raciste étant donné que Taoufic n’avait pas la nationalité française ?

La police des polices va mener l’enquête pour trouver ce qui est arrivé à Taoufic mais une chose est sûre, si les policiers ont vraiment quelque chose à se reprocher l’affaire va faire du bruit…

7 janvier 2007

Un médecin Italien aide son patient à mourir

ITALIAIl réclamait le droit de mourir. La justice italienne le lui avait refusé. Pourtant, quelques heures à peine après ce refus, Piergiorgio Welbay, cet homme de soixante ans atteint de dystrophie musculaire, est tout de même décédé. La nouvelle de sa mort a été annoncée par Radio-Radicale Italienne, la station radio du Parti radical, où l'annonce a été faite par le leader historique de ce parti, Marco Panella. Ce dernier s'est empressé d'assurer que Welby était mort de mort naturelle - ce qu'a rapidement démenti un médecin italien, Mario Riccio (ci-contre), lequel a affirmé avoir aidé le patient à mourir.

Cet anesthésiste de l'hôpital de Crémone a expliqué avoir débranché le respirateur artificiel et donné les médicaments nécessaires pour éviter au malade de souffrir. Il a précisé que Welby était décédé "une demi-heure avant minuit", mercredi. Ce même mercredi, le Conseil supérieur de la santé italien avait estimé que le malade ne faisait pas l'objet d'un acharnement thérapeutique. Les experts du Conseil avaient justifié leur avis en affirmant, entre autre, qu'il n'était pas en danger de mort "imminent".

Piergiorgio Welby, qui aurait eu 61 ans le 26 décembre prochain, il s'était fait connaître par sa lutte acharnée devant les tribunaux, pour obtenir le droit de débrancher le respirateur qui le maintenait en vie. Nourri par sonde, il n'arrivait même plus à dormir, selon sa femme Mina.

Son cas avait relancé le débat sur l'euthanasie en Italie, l’homme était également auteur d'un plaidoyer en faveur du droit à mourir. Il avait lancé un premier appel pour réclamer ce droit en septembre, dans une lettre ouverte au président de la République Giorgio Napolitano.

Avant son dernier combat, devant les tribunaux, il avait écrit à toute la presse italienne "de la prison infâme" de son corps, comparant son sort à celui d'un autre "prisonnier" célèbre, Aldo Moro, l'ancien chef du gouvernement italien séquestré 55 jours puis tué par les Brigades Rouges en mai 1978. Je ne comprend vraiment pas que l'on puisse décider de la mort d'un homme mourant à sa place. Je pense que le médecin a eu raison. Le problème est qu’il risque la prison pour son geste. J’espère qu’il feront cette fois une entorse à la règle et que les politiciens suprimeront peut-être cette loi stupide.

6 janvier 2007

Maurice Agnelet acquitté

AGNELETMaurice Agnelet, qui comparaît depuis le 23 novembre pour « l'assassinat » d'Agnès Le Roux, a été acquitté ce jeudi par le tribunal de Nice. C’est avec soulagement que ce dernier a affirmé à la presse a ne pas craindre un éventuel appel du parquet, réclamé par la famille Le Roux qui s'est dit prête à "aller jusqu'au bout".

Renée Le Roux, ancienne dirigeante du casino Le Palais de la Méditerranée, qui est récemment revenue sur son témoignage, a affirmé quant à elle, qu’elle n'acceptait pas le verdict  qu’elle a qualifié de « catastrophique ». C’est avec un sentiment de révolte qu’elle a ajouté : « C'est un monstre, il recommencera».

Etrange anniversaire pour cette infatigable vieille dame qui  fêtait jeudi ses 85 ans, en assurant: "Ca ne fait rien, on va reprendre le combat, j'irai jusqu'au bout, ce n'est pas possible autrement ». Cette dernière étant convaincue que Jean Maurice Agnelet a été acquitté au bénéfice du doute, dont la défense s’est servie pour en son principal argument. Seule habilitée à faire appel , le parquet général d'Aix-en-Provence qui a pour sa part indiqué que rien n'avait été formalisé mais "qu'il réfléchissait à cette éventualité qui serait dans la logique des choses ". Il a dix jours pour en décider.

L'ancien amant d'Agnès s'est félicité qu' « une page  soit enfin tournée». Il a reconnu se sentir « plus léger ». Même s'il doute ne jamais pouvoir convaincre la famille Le Roux de son innocence, il a affirmé  « ne pas leur en vouloir ». Le meurtre de la jeune femme il y a trente ans reste cependant une énigme, qui laisse planer beaucoup d’incertitudes.

5 janvier 2007

Les SDF se révoltent

Cela fait bientôt une semaine que les sans domicile fixe de Paris font la grève de la faim dans l’espoir de faire réagir les politiciens. Comme chaque année, l'hiver fait resurgir la question des SDF. Cette année, présidentielle oblige, ce fait de société prend une tonalité particulière. A quatre mois du scrutin, les propositions des principaux candidats à la magistrature suprême affluent. Chacun pense avoir la solution qui le distinguera des autres et n’hésite pas à piétiner ses adversaires.

Après Lionel Jospin, qui, en 2002, avait lancé le slogan "zéro SDF en cinq ans", Nicolas Sarkozy s'engage à ce que "d'ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur un trottoir et d'y mourir de froid". Le président de l'UMP souhaite des centres d'hébergement de longue durée pour une meilleure "réinsertion". Il veut également rendre "le droit à l'hébergement opposable juridiquement", selon Luc Chatel, porte-parole de l'UMP. Le droit au logement opposable engagerait la responsabilité des pouvoirs publics, au même titre que le droit à la scolarité ou à la santé, et permettrait aux sans logis ou mal logés de se tourner vers la justice. Nicolas Sarkozy a chargé Arno Klarsfeld d'établir un diagnostic sur la situation des sans-abri et de formuler des propositions sur le logement.

Ségolène Royale quant à elle, se refuse de promettre, comme Nicolas Sarkozy un hébergement à tous les SDF car, selon elle, "les Français attendent qu'on leur disent les choses quand elles sont faites". "Ma première priorité reste la lutte contre la vie chère et la précarité. Et tout ce qui doit être fait ne doit pas entraver ces deux objectifs", a t-elle rappelé.

Selon François Hollande, il faut créer des "dispositifs d'hébergement de longue durée" qui pourraient servir de "plates-formes pour les actions de réadaptation sociale". Pour lui, "l'hébergement 'au jour le jour'" n'aide pas les sans-abri à "sortir de la spirale de l'urgence". "Chacun doit avoir accès à un logement", proclame le projet du PS. Il promet "120.000 logements sociaux par an" et propose d'instituer "un bouclier logement" plafonnant à 25% la part du budget des ménages modestes consacrée au logement.

Le Front National dénonce pour sa part une "démagogie caricaturale" dans la préoccupation manifestée à chaque rendez-vous électoral pour les sans-abri. Pour le parti de Jean-Marie Le Pen, la clef est l'emploi, "seule solution durable pour sortir les exclus de la rue".

Pour l’instant rien à encore été décidé, mais une chose est sûre : le plan grand froid est lancé depuis déjà deux mois et  des centaines de SDF continuent de dormir dehors…

Publicité
3 janvier 2007

« HAUT LES CŒURS »

01En même temps que le marché de noël, la fête foraine, non loin de l’hôtel de ville, attire également beaucoup de personnes. On peut dire que cette année, la ville de Cannes n’a pas lésinée sur les moyens pour nous faire dépenser de l’argent… Barbe à papa, pomme d’amour, tire à la carabine, des manèges allant jusqu’à vingt cinq mètres de haut pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux ou le grand classique « palais du rire » pour les petit joueurs, tout y est.

Et une fois de plus le porte-monnaie prend cher. Le manège allant de trois à cinq euros, mieux vaut ne pas inviter sa petite copine au risque de se retrouver à découvert….

Le divertissement est au rendez-vous et les jeunes aussi, un fait assez rare à cannes. Car, il est vrai que, dans une ville où à peu près 70% de la population sont des retraités, il n’y à pas grand-chose à faire à par sortir en discothèque.

Cette année le père noël a pensé à tout le monde. À l’approche des vacances scolaires, il fallait bien trouver quelque chose pour décompresser. Et c’est dans les loopings du grand huit, que la jeunesse cannoise va se défouler.  Un vrai moment de détente, bon, c’est une façon de voir les choses, on va plutôt dire que, ça décoiffe mais que ça fait du bien. J’invite tous les amateurs de sensations fortes à tester le « Stargate », personnellement, j’ai failli y laisser des plumes pour ne pas dire autre chose.   

2 janvier 2007

Le meurtrier d’Ipswich enfin arrêté

Stephen Wright, le deuxième suspect arrêté dans l'enquête sur les meurtres de prostituées, a été inculpé. 

news_1_Cinq meurtres, un pays sous le choc. Voilà comment  une petite ville traquille comme Ipswich est soudain devenue le centre d'attention de tous les médias du Royaume-Uni... Des appels à témoin lancés, plus de 10.000 appels téléphoniques du public,  près de 10.000 heures de films de surveillance visionnés... C’est en tout cas ce qui a permit à la police Britannique d’arrêter le meurtrier qui a fait trembler tout un pays. L'enquête, déclenché par la découverte des corps dénudés de Tania Nicol, 19 ans, Gemma Adams, 25 ans, Anneli Alderton, 24 ans, Paula Clennell, 24 ans, et Annette Nicholls, 29 ans entre le 2 et le 12 décembre a mobilisé pas moins de 500 personnes. Les jeunes femmes, qui se connaissaient toutes, se prostituaient à Ipswich pour pouvoir se procurer de la drogue.

Son nom : Stephen Wright. Cet homme de 48 ans, a été arrêté mardi dernier, et inculpé pour le meurtre des cinq femmes. Quant à l'autre suspect, arrêté lundi et identifié par les médias britanniques comme Tom Stephens, un employé de supermarché de 37 ans, il a été libéré jeudi soir.

Stephen Wright travaillait comme conducteur de chariot élévateur au port voisin de Felixstowe. Il résidait à Ipswich, dans un quartier fréquenté par les prostituées, avec sa compagne Pamela, qui travaillait de nuit. Ses voisins l'avaient décrit comme un homme sans histoire, à la mise soignée, passionné de golf ayant une faiblesse pour le jeu. Le père de Stephen Wright, Conrad Wright, âgé de 72 ans, avait confié au Sun qu'il ne croyait pas son fils "assez intelligent pour commettre ces crimes".

Si Stephen Wright s'avère être effectivement le meurtrier d'Ipswich, l'enquête devra encore résoudre plusieurs mystères. Notamment les causes de la mort de trois des victimes. L'autopsie a révélé que Paula Clennel était morte d'une "compression au cou" et qu'Anneli Anderton avait été "asphyxiée". Les résultats de tests toxicologiques, qui devraient apporter un complément d'information, pourraient se faire attendre encore plusieurs semaines. Les corps des jeunes femmes ne portent pas de trace de violence, cependant des sources policières ont suggéré qu'elles auraient pu être droguées au Valium avant leur mort.

2 janvier 2007

« Une fausse rumeur fait le UNE de Nice Matin »

« Le charançolais rouge menace la côte d’azur » faisait la Une de Nice Matin, lundi 11 décembre 2006. Alors que le journaliste s’attardait à décrire les ravages que causait ce petit scarabée rouge sur les palmiers de la côte d’azur et la probable catastrophe économique qu’il allait engendrer, la surprise fût encore plus grande de découvrir que cet article apocalyptique n’était en fait qu’une  histoire montée de toute pièce.

Certes le charançolais rouge s’attaque aux palmiers de l’intérieur et entraîne leur agonie jusqu’à ce qu’ils s’effondrent, mais ça n’est pas du tout le cas à Cannes ou à Nice d’ailleurs…. C’est en tout cas ce qu’a confirmé La Direction de la protection botanique de Nice alors que nous étions sur le sujet pour faire un reportage… Je me demande comment un journal aussi lu que Nice Matin a pu diffuser une aussi grossière erreur et surtout en première page…  En tout cas cette histoire aura appris une chose : Ne pas faire entièrement confiance à ce qui se dit dans les journaux même si s’est en opposition même avec ma conception du journalisme…  A force de courir après le scoop de la semaine on en oubli s’en doute au bout d’un moment de vérifier ses sources. Erreur fatale…

2 janvier 2007

L’Allemagne se moque d’Hitler

clip_image001Hitler impuissant, pleurnichard ou toxicomane délaissé par son pro géniteur, c’est sous ce jour que le réalisateur Daniel Levy a choisit de monter l'ancien dicateur dans son dernier film  « Mon Führer, la vérité vraiment vrai sur Adolf Hitler » : « J'ai traversé bien des crises où je me suis demandé si j'avais même le droit de faire ce genre de chose. Il est important d'être disposé à faire des choses interdites, les choses qui sont un tabou moral. C'est la seule façon de se confronter véritablement aux sujets" a déclaré ce dernier suite à la projection du film.

Le film raconte les péripéties d'un acteur juif réquisitionné dans un camp de concentration et sommé par le chef de la propagande nazie, Joseph Goebbels, d'entraîner Hitler pour le discours du Nouvel An 1945, dans lequel il doit préparer les Allemands à l'ultime offensive. Le comédien, un certain Adolf Grünbaum, reçoit en arrivant à la chancellerie un sandwich au jambon qui est tout sauf kascher. Avant que le Führer arrive, il réussit à ôter la maudite viande pour la cacher sous un tapis, où la dévore la chienne du dictateur, Blondi. Hitler est impressionné par Grünbaum qui fouille avec clairvoyance dans sa psychologie et son enfance malheureuse, ceci afin de relancer ses talents oratoires, éteints au fur et à mesure des défaites militaires.

Il existe en réalité une base historique à ce film, puisque le dictateur a vraiment eu recours à un acteur pour améliorer ses discours dans les années 30. Mais tout le reste n'est que le fruit de l'imagination. On voit par exemple Hitler sortir de la drogue de son globe terrestre géant, jouer avec un navire de guerre en plastique dans son bain ou bien lutter avec Blondi, vêtue de son propre petit uniforme SS.

Le film tente de faire tomber les tabous en Allemagne où l’impact du nazisme est encore frais dans les mémoires en stéréotypant le dictateur. Pourtant se moquer d’un personnage historique tel qu’Hitler est un pari dangereux. Ce genre d’humour grinçant à des chances d’être mal reçu du public.

Pourtant lors de son avant-première à Berlin, les rires ont fusé dans les salles obscures, apparemment les allemands sont prêts à tourner la page avec cette période de l’histoire. Il vaut mieux en rire qu’en pleurer certes, mais je ne pense pas que nos grands-parents qui, eux ont vraiment vécu la seconde guerre mondiale, seraient de cet avis…

31 décembre 2006

Sadam Hussein pendu haut et court

sadam

La nouvelle a fait le tour des télévisions irakiennes. Cette fois c’est sûr, Saddam Hussein a été exécuté par pendaison ce samedi, tôt dans la matinée. Accusé de crime contre l’humanité, l’ancien dictateur irakien de 69 ans a assumé sa sentence avec dignité. L’homme est resté calme face à la mort et a prononcé une dernière prière avant son exécution. "Nous avons entendu sa nuque se briser",a déclaré Sami al Askari, allié politique du Premier ministre Nouri al Maliki, à l'issue de l'exécution qui s'est déroulée à l'intérieur d'un bâtiment du ministère de la Justice dans le nord de Bagdad. Alors que les chiites, opprimés sous le régime de Saddam Hussein, laissaient éclater leur joie, le Premier ministre a appelé les anciens partisans du dictateur déchu, à mettre fin à l'insurrection et à rejoindre le processus politique.
"L'exécution de Saddam met fin à toutes les spéculations pathétiques sur un retour de la dictature", explique t-il dans un communiqué.

De son coté, George Bush a estimé que la mort de Saddam Hussein constituait une "étape importante" du processus de démocratisation de l'Irak.
"Faire rendre justice à Saddam Hussein ne mettra pas un terme à la violence en Irak, mais c'est une étape importante sur le chemin de la démocratie en Irak, une démocratie qui pourra se gouverner, se soutenir et se défendre par elle-même", écrit-il dans un communiqué diffusé de son ranch texan de Crawford.

Pourtant, des associations de défense des droits de l'homme, dont Amnesty International et Human Rights Watch, ont dénoncé les conditions du procès de Saddam Hussein. Il est vrai que l’exécuter le jour de  l’Aïd, fête religieuse et très importante chez les musulmans, est une provocation. Je pense qu’en ce jour sain il n’était pas nécéssaire de faire couler du sang, l’Irak souffre assez de la violence, il était inutile d’en rajouter…

Publicité
1 2 3 > >>
Hot' Actu
Publicité
Publicité